. Dame, je suis comme madame Dugenou, j'aime être convaincu.
Alors je lis, je m'informe, j'essaie derrière les rotomontades des candidats, et derrière leur programme qui ne peut être que le programme presque parfait, de déceler leur âme, leur vérité d'être humain. Alors je lis, tel cet extrait d'interview publié sur le site www.atlantico.fr et donné par le journaliste Philippe Alexandre qui publia " La Dame des trente cinq heures ".
" Depuis qu’elle a accédé au poste de Premier secrétaire du Parti socialiste, elle est parvenue à réunir autour d’elle beaucoup de monde. Mais elle n’a pas tenu compte de toutes les critiques qui ont pu lui être adressées. Cette rigidité m’a étonné.
Je pensais lorsqu’elle a été élue Premier secrétaire – même si son élection s’est déroulée dans des conditions difficiles, voire même contestables - qu’elle changerait un peu son style de gouvernance. Or, apparemment, elle n’a pas tellement changé.
Et puis, elle a ce défaut que beaucoup d’hommes politiques ont : elle est fâchée avec la vérité. Elle raconte des contre-vérités avec un aplomb formidable. Mais, vous savez, les hommes politiques qui racontent la vérité ne sont en général pas élus !
"
... Des contre-vérités avec un aplomb formidable.
Je l'avais noté. C'est confirmé.
Les compagnons de route de madame Dugenou ne sont pas totalement illettrés.
.